Claude Gillot. Comédies, fables & arabesques, 1673-1722

Par : Hélène Meyer, Xavier Salmon, Jennifer Tonkovitch
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  • Nombre de pages218
  • PrésentationBroché
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.002 kg
  • Dimensions20,0 cm × 25,2 cm × 2,3 cm
  • ISBN978-2-35906-412-4
  • EAN9782359064124
  • Date de parution09/11/2023
  • ÉditeurLienart
  • PréfacierLaurence Des Cars
  • TraducteurJean-François Allain

Résumé

Dessinateur et graveur, Claude Gillot (Langres, 1673 - Paris, 1722) tient une grande part de sa réputation à la fantaisie de ses dessins et à la liberté de ses gravures, lui valant de faire figure d'artiste indiscipliné. Son oeuvre de vignettiste, abondant et varié, apprécié des cercles privés et de la bourgeoisie parisienne, témoigne, à la fin du Grand siècle, de l'émergence d'un premier rococo, riche d'invention, de poésie et d'étrangeté.
A distance de l'art officiel de Versailles, son art est celui de la comédie italienne, de la fable et du théâtre, alors en pleine évolution. L'ouvrage s'attache à montrer combien le dessin, dans sa diversité technique, fut le moyen d'expression privilégié de l'artiste, tandis que son oeuvre peint est rare, limité à moins d'une dizaine de toiles. Il rend aussi compte de la grande la profusion de sa production entre bacchanales et scènes de sorcellerie, décors d'opéras, costumes et figures d'acteurs, fêtes et plaisirs rustiques...
Enfin, sa postérité est évoquée par les premiers dessins du jeune Watteau qui se forme dans son atelier. Cet élève prestigieux vaut à Gillot de n'être jamais tombé dans l'oubli et ouvre la voie au succès des fêtes galantes de la Régence.
Dessinateur et graveur, Claude Gillot (Langres, 1673 - Paris, 1722) tient une grande part de sa réputation à la fantaisie de ses dessins et à la liberté de ses gravures, lui valant de faire figure d'artiste indiscipliné. Son oeuvre de vignettiste, abondant et varié, apprécié des cercles privés et de la bourgeoisie parisienne, témoigne, à la fin du Grand siècle, de l'émergence d'un premier rococo, riche d'invention, de poésie et d'étrangeté.
A distance de l'art officiel de Versailles, son art est celui de la comédie italienne, de la fable et du théâtre, alors en pleine évolution. L'ouvrage s'attache à montrer combien le dessin, dans sa diversité technique, fut le moyen d'expression privilégié de l'artiste, tandis que son oeuvre peint est rare, limité à moins d'une dizaine de toiles. Il rend aussi compte de la grande la profusion de sa production entre bacchanales et scènes de sorcellerie, décors d'opéras, costumes et figures d'acteurs, fêtes et plaisirs rustiques...
Enfin, sa postérité est évoquée par les premiers dessins du jeune Watteau qui se forme dans son atelier. Cet élève prestigieux vaut à Gillot de n'être jamais tombé dans l'oubli et ouvre la voie au succès des fêtes galantes de la Régence.