Chroniques musicales azuréennes. Du vaisseau fantôme à la dame de pique
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- Nombre de pages684
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.84 kg
- Dimensions12,0 cm × 20,0 cm × 4,2 cm
- ISBN978-2-86818-083-4
- EAN9782868180834
- Date de parution08/11/2022
- ÉditeurEST - Samuel Tastet Editeur
- PréfacierRoberto Alagna
- PostfacierPhilippe Olivier
- IllustrateurMikhaylova Maria
Résumé
Vingt-cinq années (1995-2020) de critique musicale sont répertoriées dans cet ouvrage. Doté d'une écriture généreuse, scrupuleuse et enthousiaste, l'auteur nous remémore, à vif, les grands moments de création des Opéras de Nice et de Monte-Carlo où ténors, barytons et sopranos - débutants ou consacrés - ont enrichi ces indispensables théâtres. Ce panorama azuréen vivifiant n'oublie nullement, en parallèle, les lieux mythiques du bel canto - car Yves Coures est aussi un impénitent globe-trotteur : le Met à New York, le Teatro Colón à Buenos Aires, La Fenice à Venise, la Scala à Milan, le Regio ü Turin, le Carlo-Felice à Gênes et le légendaire estival Festspiele à Bayreuth.
Pour chaque opéra ciblé, la force stylistique nous enjoue à redevenir un spectateur attenté et attentif. Ces critiques - elles méritent noblement cette appellation - sont de rares bijoux dont les feux aux couleurs variées dispersent à leur lecture un saisissement savoureux. On jubile, on trépigne, on s'enchante. Sans omettre, parmi tant d'autres qui jalonnent l'exercice, cette pertinente réflexion : Nos édiles comprendront-ils que dans une société qui se déshumanise et qui accule de plus en plus l'homme à la solitude, l'art lyrique agit socialement comme un véritable exutoire au stress de la vie quotidienne ? D'une virtuosité assurée, Chroniques musicales azuréennes interpelle le monde lyrique, de plein fouet.
Pour chaque opéra ciblé, la force stylistique nous enjoue à redevenir un spectateur attenté et attentif. Ces critiques - elles méritent noblement cette appellation - sont de rares bijoux dont les feux aux couleurs variées dispersent à leur lecture un saisissement savoureux. On jubile, on trépigne, on s'enchante. Sans omettre, parmi tant d'autres qui jalonnent l'exercice, cette pertinente réflexion : Nos édiles comprendront-ils que dans une société qui se déshumanise et qui accule de plus en plus l'homme à la solitude, l'art lyrique agit socialement comme un véritable exutoire au stress de la vie quotidienne ? D'une virtuosité assurée, Chroniques musicales azuréennes interpelle le monde lyrique, de plein fouet.
Vingt-cinq années (1995-2020) de critique musicale sont répertoriées dans cet ouvrage. Doté d'une écriture généreuse, scrupuleuse et enthousiaste, l'auteur nous remémore, à vif, les grands moments de création des Opéras de Nice et de Monte-Carlo où ténors, barytons et sopranos - débutants ou consacrés - ont enrichi ces indispensables théâtres. Ce panorama azuréen vivifiant n'oublie nullement, en parallèle, les lieux mythiques du bel canto - car Yves Coures est aussi un impénitent globe-trotteur : le Met à New York, le Teatro Colón à Buenos Aires, La Fenice à Venise, la Scala à Milan, le Regio ü Turin, le Carlo-Felice à Gênes et le légendaire estival Festspiele à Bayreuth.
Pour chaque opéra ciblé, la force stylistique nous enjoue à redevenir un spectateur attenté et attentif. Ces critiques - elles méritent noblement cette appellation - sont de rares bijoux dont les feux aux couleurs variées dispersent à leur lecture un saisissement savoureux. On jubile, on trépigne, on s'enchante. Sans omettre, parmi tant d'autres qui jalonnent l'exercice, cette pertinente réflexion : Nos édiles comprendront-ils que dans une société qui se déshumanise et qui accule de plus en plus l'homme à la solitude, l'art lyrique agit socialement comme un véritable exutoire au stress de la vie quotidienne ? D'une virtuosité assurée, Chroniques musicales azuréennes interpelle le monde lyrique, de plein fouet.
Pour chaque opéra ciblé, la force stylistique nous enjoue à redevenir un spectateur attenté et attentif. Ces critiques - elles méritent noblement cette appellation - sont de rares bijoux dont les feux aux couleurs variées dispersent à leur lecture un saisissement savoureux. On jubile, on trépigne, on s'enchante. Sans omettre, parmi tant d'autres qui jalonnent l'exercice, cette pertinente réflexion : Nos édiles comprendront-ils que dans une société qui se déshumanise et qui accule de plus en plus l'homme à la solitude, l'art lyrique agit socialement comme un véritable exutoire au stress de la vie quotidienne ? D'une virtuosité assurée, Chroniques musicales azuréennes interpelle le monde lyrique, de plein fouet.