Chasses du Rhin. Chevreuil, sangliers, bécasses et perdreaux. Chevreuils, sangliers, bécasses et perdreaux.
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- Nombre de pages202
- PrésentationBroché
- Poids0.252 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,0 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-35653-017-2
- EAN9782356530172
- Date de parution25/03/2010
- CollectionEn suivant saint Hubert
- ÉditeurMontbel
Résumé
Avant la guerre de 1914, les plaines du Rhin, de l'Alsace au grand-duché de Bade, étaient un paradis où le gibier foisonnait. Chevreuils, sangliers, bécasses ou perdreaux faisaient le bonheur des chasseurs. D'une plume chaleureuse, James Jaquet (1856-1936) raconte ses émotions de chasse au coeur d'une nature généreuse. "Nous examinons avec attention les buissons et les touffes de fougères qui sont devant nous.
Voici, au loin, une tache rouge dans les herbes. Elle disparaît pour reparaître un peu plus loin. A l'aide de nos jumelles, nous voyons que c'est un chevreuil, une forte bête, mais la tête baissée vers le sol n'est pas distincte. Enfin, cette tête se dresse au-dessus d'un buisson et se détache sur le ciel matinal. C'est bien notre brocard ; ses bois superbes sont parfaitement visibles. Il reste longtemps immobile.
Comme il avance avec précaution ! Il se dirige, ainsi que nous l'avions prévu, vers les hauts bois ; dans peu d'instants, il aura atteint la percée verte qui descend à gauche de nous. Lentement, la carabine a été mise en joue, le coup part et le brocard, après un bond puissant, disparaît dans les hautes herbes. A l'endroit où il se trouvait, nous cherchons avec soin. Voici, sur une feuille de fraisier une goutte de sang et quelques poils coupés".
Voici, au loin, une tache rouge dans les herbes. Elle disparaît pour reparaître un peu plus loin. A l'aide de nos jumelles, nous voyons que c'est un chevreuil, une forte bête, mais la tête baissée vers le sol n'est pas distincte. Enfin, cette tête se dresse au-dessus d'un buisson et se détache sur le ciel matinal. C'est bien notre brocard ; ses bois superbes sont parfaitement visibles. Il reste longtemps immobile.
Comme il avance avec précaution ! Il se dirige, ainsi que nous l'avions prévu, vers les hauts bois ; dans peu d'instants, il aura atteint la percée verte qui descend à gauche de nous. Lentement, la carabine a été mise en joue, le coup part et le brocard, après un bond puissant, disparaît dans les hautes herbes. A l'endroit où il se trouvait, nous cherchons avec soin. Voici, sur une feuille de fraisier une goutte de sang et quelques poils coupés".
Avant la guerre de 1914, les plaines du Rhin, de l'Alsace au grand-duché de Bade, étaient un paradis où le gibier foisonnait. Chevreuils, sangliers, bécasses ou perdreaux faisaient le bonheur des chasseurs. D'une plume chaleureuse, James Jaquet (1856-1936) raconte ses émotions de chasse au coeur d'une nature généreuse. "Nous examinons avec attention les buissons et les touffes de fougères qui sont devant nous.
Voici, au loin, une tache rouge dans les herbes. Elle disparaît pour reparaître un peu plus loin. A l'aide de nos jumelles, nous voyons que c'est un chevreuil, une forte bête, mais la tête baissée vers le sol n'est pas distincte. Enfin, cette tête se dresse au-dessus d'un buisson et se détache sur le ciel matinal. C'est bien notre brocard ; ses bois superbes sont parfaitement visibles. Il reste longtemps immobile.
Comme il avance avec précaution ! Il se dirige, ainsi que nous l'avions prévu, vers les hauts bois ; dans peu d'instants, il aura atteint la percée verte qui descend à gauche de nous. Lentement, la carabine a été mise en joue, le coup part et le brocard, après un bond puissant, disparaît dans les hautes herbes. A l'endroit où il se trouvait, nous cherchons avec soin. Voici, sur une feuille de fraisier une goutte de sang et quelques poils coupés".
Voici, au loin, une tache rouge dans les herbes. Elle disparaît pour reparaître un peu plus loin. A l'aide de nos jumelles, nous voyons que c'est un chevreuil, une forte bête, mais la tête baissée vers le sol n'est pas distincte. Enfin, cette tête se dresse au-dessus d'un buisson et se détache sur le ciel matinal. C'est bien notre brocard ; ses bois superbes sont parfaitement visibles. Il reste longtemps immobile.
Comme il avance avec précaution ! Il se dirige, ainsi que nous l'avions prévu, vers les hauts bois ; dans peu d'instants, il aura atteint la percée verte qui descend à gauche de nous. Lentement, la carabine a été mise en joue, le coup part et le brocard, après un bond puissant, disparaît dans les hautes herbes. A l'endroit où il se trouvait, nous cherchons avec soin. Voici, sur une feuille de fraisier une goutte de sang et quelques poils coupés".