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Chanoines réguliers et sociétés méridionales. L'abbaye de Saint Ruf et ses prieurés dans le sud-est de la France (XIe-XIVe siècle). tome 1 et 2
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- Nombre de pages1030
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids2.135 kg
- Dimensions18,0 cm × 25,8 cm × 8,0 cm
- ISBN978-2-503-55285-9
- EAN9782503552859
- Date de parution01/01/2018
- CollectionBibliotheca victorina
- ÉditeurBrepols
Résumé
C'est surtout à partir de l'abbaye de Saint-Ruf d'Avignon qu'est diffusé, dans le Midi de la France et la Catalogne à la fin du XIe siècle, le modèle des chanoines réguliers, soit la vie commune du clergé sans propriété personnelle, à l'exemple des Apôtres à Jérusalem. Des coutumiers, des chartriers et des cartulaires permettent d'écrire l'histoire du réseau des prieurés de l'abbaye de Saint-Ruf au coeur de sa zone d'influence, de part et d'autre du Rhône, jusqu'à Lyon.
A l'échelon supérieur, son influence repose sur le soutien des évêques soucieux de la pastorale et du service des églises de leur diocèse, et sur le soutien de certaines grandes maisons princières. A l'échelon local, les fonctions paroissiales et mémorielles des prieurés nourrissent un enracinement spirituel, économique et social. La cohésion de la congrégation est sauvegardée par un chapitre général qui réglemente son fonctionnement économique, facilitant probablement un tournant " rentier " dans la gestion des offices et des prieurés à la fin du XIIIe siècle.
La permanence de liens entre prieurés et élites locales est confirmée par l'exploitation d'un fichier de 300 chanoines environ.
A l'échelon supérieur, son influence repose sur le soutien des évêques soucieux de la pastorale et du service des églises de leur diocèse, et sur le soutien de certaines grandes maisons princières. A l'échelon local, les fonctions paroissiales et mémorielles des prieurés nourrissent un enracinement spirituel, économique et social. La cohésion de la congrégation est sauvegardée par un chapitre général qui réglemente son fonctionnement économique, facilitant probablement un tournant " rentier " dans la gestion des offices et des prieurés à la fin du XIIIe siècle.
La permanence de liens entre prieurés et élites locales est confirmée par l'exploitation d'un fichier de 300 chanoines environ.
C'est surtout à partir de l'abbaye de Saint-Ruf d'Avignon qu'est diffusé, dans le Midi de la France et la Catalogne à la fin du XIe siècle, le modèle des chanoines réguliers, soit la vie commune du clergé sans propriété personnelle, à l'exemple des Apôtres à Jérusalem. Des coutumiers, des chartriers et des cartulaires permettent d'écrire l'histoire du réseau des prieurés de l'abbaye de Saint-Ruf au coeur de sa zone d'influence, de part et d'autre du Rhône, jusqu'à Lyon.
A l'échelon supérieur, son influence repose sur le soutien des évêques soucieux de la pastorale et du service des églises de leur diocèse, et sur le soutien de certaines grandes maisons princières. A l'échelon local, les fonctions paroissiales et mémorielles des prieurés nourrissent un enracinement spirituel, économique et social. La cohésion de la congrégation est sauvegardée par un chapitre général qui réglemente son fonctionnement économique, facilitant probablement un tournant " rentier " dans la gestion des offices et des prieurés à la fin du XIIIe siècle.
La permanence de liens entre prieurés et élites locales est confirmée par l'exploitation d'un fichier de 300 chanoines environ.
A l'échelon supérieur, son influence repose sur le soutien des évêques soucieux de la pastorale et du service des églises de leur diocèse, et sur le soutien de certaines grandes maisons princières. A l'échelon local, les fonctions paroissiales et mémorielles des prieurés nourrissent un enracinement spirituel, économique et social. La cohésion de la congrégation est sauvegardée par un chapitre général qui réglemente son fonctionnement économique, facilitant probablement un tournant " rentier " dans la gestion des offices et des prieurés à la fin du XIIIe siècle.
La permanence de liens entre prieurés et élites locales est confirmée par l'exploitation d'un fichier de 300 chanoines environ.