Carnets d'un héros ordinaire. De Paris au maquis du Mont Mouchet (1940-1944)
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 27 juinCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 27 juin
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages124
- PrésentationBroché
- Poids0.265 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
- ISBN2-7011-4359-4
- EAN9782701143590
- Date de parution23/11/2006
- Collectionlittérature et politique
- ÉditeurBelin
- PréfacierLucie Aubrac
- Directeur de publicationViviane Koenig
Résumé
" Pour ceux de ma génération, pour les adolescents, pour les adultes, pour les chercheurs qui écrivent l'histoire de 1939-1945 avec toutes les références possibles, ce livre est indispensable. Ouvrez-le. Lisez l'introduction de Viviane Koenig. Qui que vous soyez, l'émotion précèdera la curiosité de poursuivre la découverte. Dix-neuf ans en 1939, vivant passivement la défaite, embarqué dans les
organisations de jeunes du maréchal Pétain, Jean-Claude Stern a réfléchi.
Il a découvert la Résistance, apporté sa compétence à l'Armée secrète pour se retrouver, au printemps 1944, responsable des transmissions du maquis du Mont Mouchet. Pour moi, je me contenterai de dire que j'ai connu ces maquisards, leur enthousiasme, leur courage, leur sacrifice. (Lucie Aubrac) Jean-Claude Stern, comme beaucoup de " héros ordinaires ", s'est tu pendant de longues années. Au fil des derniers mois de sa vie, il a confié à sa fille, Viviane Koenig, les carnets qu'il avait tenus pendant la guerre, il les a complétés par le récit, extraordinairement présent encore, de sa vie au maquis.
Ce livre est le fruit de ce travail de mémoire partagé.
Il a découvert la Résistance, apporté sa compétence à l'Armée secrète pour se retrouver, au printemps 1944, responsable des transmissions du maquis du Mont Mouchet. Pour moi, je me contenterai de dire que j'ai connu ces maquisards, leur enthousiasme, leur courage, leur sacrifice. (Lucie Aubrac) Jean-Claude Stern, comme beaucoup de " héros ordinaires ", s'est tu pendant de longues années. Au fil des derniers mois de sa vie, il a confié à sa fille, Viviane Koenig, les carnets qu'il avait tenus pendant la guerre, il les a complétés par le récit, extraordinairement présent encore, de sa vie au maquis.
Ce livre est le fruit de ce travail de mémoire partagé.
" Pour ceux de ma génération, pour les adolescents, pour les adultes, pour les chercheurs qui écrivent l'histoire de 1939-1945 avec toutes les références possibles, ce livre est indispensable. Ouvrez-le. Lisez l'introduction de Viviane Koenig. Qui que vous soyez, l'émotion précèdera la curiosité de poursuivre la découverte. Dix-neuf ans en 1939, vivant passivement la défaite, embarqué dans les
organisations de jeunes du maréchal Pétain, Jean-Claude Stern a réfléchi.
Il a découvert la Résistance, apporté sa compétence à l'Armée secrète pour se retrouver, au printemps 1944, responsable des transmissions du maquis du Mont Mouchet. Pour moi, je me contenterai de dire que j'ai connu ces maquisards, leur enthousiasme, leur courage, leur sacrifice. (Lucie Aubrac) Jean-Claude Stern, comme beaucoup de " héros ordinaires ", s'est tu pendant de longues années. Au fil des derniers mois de sa vie, il a confié à sa fille, Viviane Koenig, les carnets qu'il avait tenus pendant la guerre, il les a complétés par le récit, extraordinairement présent encore, de sa vie au maquis.
Ce livre est le fruit de ce travail de mémoire partagé.
Il a découvert la Résistance, apporté sa compétence à l'Armée secrète pour se retrouver, au printemps 1944, responsable des transmissions du maquis du Mont Mouchet. Pour moi, je me contenterai de dire que j'ai connu ces maquisards, leur enthousiasme, leur courage, leur sacrifice. (Lucie Aubrac) Jean-Claude Stern, comme beaucoup de " héros ordinaires ", s'est tu pendant de longues années. Au fil des derniers mois de sa vie, il a confié à sa fille, Viviane Koenig, les carnets qu'il avait tenus pendant la guerre, il les a complétés par le récit, extraordinairement présent encore, de sa vie au maquis.
Ce livre est le fruit de ce travail de mémoire partagé.