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  • Nombre de pages190
  • PrésentationBroché
  • Poids0.255 kg
  • Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-7246-0898-4
  • EAN9782724608984
  • Date de parution21/01/2003
  • ÉditeurSciences Po (Les Presses de)

Résumé

Ce livre réunit les résultats d'enquêtes réalisées auprès des adhérents communistes, socialistes et Verts sur la socio-démographie des adhérents, leurs attitudes à l'égard de leur parti, leur conception du changement social. Elles mettent l'accent sur ce qui fait la spécificité de chacune des organisations, ce qui crée l'identité partisane. Ainsi pour les adhérents communistes, la "mutation" du parti, la lutte des classes, la lutte contre l'impérialisme et la valorisation de l'internationalisme.
Pour les adhérents socialistes, la permanence de l' "identité républicaine", axe majeur d'un parti qui a abandonné son ambition de "changer la vie". Enfin pour les Verts, les valeurs environnementales et la radicalisation progressive à gauche. On prend ainsi la mesure des difficultés de la gauche dans son ensemble mais aussi dans chacune de ses composantes. Le déclin du parti communiste se poursuit inexorablement, le parti socialiste, à l'identité et à la stratégie incertaines, semble bien incapable d'orienter le mouvement social, les Verts, obnubilés par les règlements de compte internes, n'ont pas recueilli les bénéfices attendus de leurs alliances.
Cette évolution ne risque-t-elle pas de renforcer le rejet du militantisme partisan et ainsi de contribuer à la crise de la représentation ?
Ce livre réunit les résultats d'enquêtes réalisées auprès des adhérents communistes, socialistes et Verts sur la socio-démographie des adhérents, leurs attitudes à l'égard de leur parti, leur conception du changement social. Elles mettent l'accent sur ce qui fait la spécificité de chacune des organisations, ce qui crée l'identité partisane. Ainsi pour les adhérents communistes, la "mutation" du parti, la lutte des classes, la lutte contre l'impérialisme et la valorisation de l'internationalisme.
Pour les adhérents socialistes, la permanence de l' "identité républicaine", axe majeur d'un parti qui a abandonné son ambition de "changer la vie". Enfin pour les Verts, les valeurs environnementales et la radicalisation progressive à gauche. On prend ainsi la mesure des difficultés de la gauche dans son ensemble mais aussi dans chacune de ses composantes. Le déclin du parti communiste se poursuit inexorablement, le parti socialiste, à l'identité et à la stratégie incertaines, semble bien incapable d'orienter le mouvement social, les Verts, obnubilés par les règlements de compte internes, n'ont pas recueilli les bénéfices attendus de leurs alliances.
Cette évolution ne risque-t-elle pas de renforcer le rejet du militantisme partisan et ainsi de contribuer à la crise de la représentation ?