Boèce en rimes. Traduction en vers français de la Consolatio philosophiae, texte du XIVe siècle

Par : Jean de Thys, John Keith Atkinson
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 2 août et le 19 août
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera expédié 2 à 4 semaines après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages676
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids1.11 kg
  • Dimensions14,2 cm × 22,5 cm × 4,5 cm
  • ISBN978-2-906867-12-3
  • EAN9782906867123
  • Date de parution31/01/2020
  • CollectionSociété des anciens textes
  • ÉditeurF. Paillart Editeur

Résumé

Est ici éditée l'une des traductions françaises de la "Consolatio Philosophiae" de Boèce. Attribuable à Jean de Thys, elle fut rédigée en octosyllabes à rimes plates vers 1350-1375 en Wallonie orientale. Son rédacteur y interpole des extraits de diverses sources latines, depuis Fulgence jusqu'aux commentaires latins de la "Consolatio". Il affirme avoir traduit en conciliant respect pour la pensée de Boèce et volonté de faire briller la versification.
Le texte ainsi produit est ardu, aussi conseille-t-il à ses lecteurs de lire parallèlement sa source latine. Parmi les deux témoins du texte, c'est le ms. Paris, BnF, fr. 576, daté de 1383 et proche de l'original par sa langue, qui a été choisi comme manuscrit de base.
Est ici éditée l'une des traductions françaises de la "Consolatio Philosophiae" de Boèce. Attribuable à Jean de Thys, elle fut rédigée en octosyllabes à rimes plates vers 1350-1375 en Wallonie orientale. Son rédacteur y interpole des extraits de diverses sources latines, depuis Fulgence jusqu'aux commentaires latins de la "Consolatio". Il affirme avoir traduit en conciliant respect pour la pensée de Boèce et volonté de faire briller la versification.
Le texte ainsi produit est ardu, aussi conseille-t-il à ses lecteurs de lire parallèlement sa source latine. Parmi les deux témoins du texte, c'est le ms. Paris, BnF, fr. 576, daté de 1383 et proche de l'original par sa langue, qui a été choisi comme manuscrit de base.