Boèce en rimes. Traduction en vers français de la Consolatio philosophiae, texte du XIVe siècle
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- Nombre de pages676
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1.11 kg
- Dimensions14,2 cm × 22,5 cm × 4,5 cm
- ISBN978-2-906867-12-3
- EAN9782906867123
- Date de parution31/01/2020
- CollectionSociété des anciens textes
- ÉditeurF. Paillart Editeur
Résumé
Est ici éditée l'une des traductions françaises de la "Consolatio Philosophiae" de Boèce. Attribuable à Jean de Thys, elle fut rédigée en octosyllabes à rimes plates vers 1350-1375 en Wallonie orientale. Son rédacteur y interpole des extraits de diverses sources latines, depuis Fulgence jusqu'aux commentaires latins de la "Consolatio". Il affirme avoir traduit en conciliant respect pour la pensée de Boèce et volonté de faire briller la versification.
Le texte ainsi produit est ardu, aussi conseille-t-il à ses lecteurs de lire parallèlement sa source latine. Parmi les deux témoins du texte, c'est le ms. Paris, BnF, fr. 576, daté de 1383 et proche de l'original par sa langue, qui a été choisi comme manuscrit de base.
Le texte ainsi produit est ardu, aussi conseille-t-il à ses lecteurs de lire parallèlement sa source latine. Parmi les deux témoins du texte, c'est le ms. Paris, BnF, fr. 576, daté de 1383 et proche de l'original par sa langue, qui a été choisi comme manuscrit de base.
Est ici éditée l'une des traductions françaises de la "Consolatio Philosophiae" de Boèce. Attribuable à Jean de Thys, elle fut rédigée en octosyllabes à rimes plates vers 1350-1375 en Wallonie orientale. Son rédacteur y interpole des extraits de diverses sources latines, depuis Fulgence jusqu'aux commentaires latins de la "Consolatio". Il affirme avoir traduit en conciliant respect pour la pensée de Boèce et volonté de faire briller la versification.
Le texte ainsi produit est ardu, aussi conseille-t-il à ses lecteurs de lire parallèlement sa source latine. Parmi les deux témoins du texte, c'est le ms. Paris, BnF, fr. 576, daté de 1383 et proche de l'original par sa langue, qui a été choisi comme manuscrit de base.
Le texte ainsi produit est ardu, aussi conseille-t-il à ses lecteurs de lire parallèlement sa source latine. Parmi les deux témoins du texte, c'est le ms. Paris, BnF, fr. 576, daté de 1383 et proche de l'original par sa langue, qui a été choisi comme manuscrit de base.