Biosphère et droits fondamentaux
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- Nombre de pages222
- PrésentationBroché
- Poids0.229 kg
- Dimensions11,4 cm × 17,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-3-7255-6293-0
- EAN9783725562930
- Date de parution15/06/2011
- CollectionQuid iuris ?
- ÉditeurSchulthess
Résumé
Le thème Biosphère et droits fondamentaux reflète une situation inédite des humains relativement à leur habitat : de par leur masse et leur mode de vie, ils commencent de menacer l'équilibre de la biosphère, oubliant qu'elle recèle leurs propres conditions d'existence. Nous sommes ainsi rendus vitalement solidaires de la biosphère, laquelle a cessé de nous environner pour nous englober. Après avoir esquissé la généalogie de la notion de biosphère et le surcroît de lucidité qu'elle nous apporte en nous restituant à notre finitude, philosophes, éthiciens et juristes dialoguent en vue de saisir les principaux ressorts d'action propres à assumer notre rapport, en voie de renouvellement, à la nature.
La gravité de la menace et l'urgence des mesures commandaient de s'en tenir à une approche pragmatique : qu'est-ce ce qui se fait aujourd'hui, et qu'entreprendre qui demeure à la portée des hommes incarnés, ici et maintenant ? L'analyse des leviers éthico-juridiques concrets en " préservation " de la biosphère s'étend du biocentrisme, assumé par la " dignité de la créature " mais controversé, au droit à un environnement sain voire à des devoirs de l'homme en abstention de pollution, en passant par les moyens de droit public interne, particulièrement le contrôle des politiques publiques, et ceux de droit privé, nationaux et européen, en matière de gestion des dommages environnementaux transfrontières.
La tâche s'éprouve colossale, les instruments modestes... ne rien entreprendre, coupable.
La gravité de la menace et l'urgence des mesures commandaient de s'en tenir à une approche pragmatique : qu'est-ce ce qui se fait aujourd'hui, et qu'entreprendre qui demeure à la portée des hommes incarnés, ici et maintenant ? L'analyse des leviers éthico-juridiques concrets en " préservation " de la biosphère s'étend du biocentrisme, assumé par la " dignité de la créature " mais controversé, au droit à un environnement sain voire à des devoirs de l'homme en abstention de pollution, en passant par les moyens de droit public interne, particulièrement le contrôle des politiques publiques, et ceux de droit privé, nationaux et européen, en matière de gestion des dommages environnementaux transfrontières.
La tâche s'éprouve colossale, les instruments modestes... ne rien entreprendre, coupable.
Le thème Biosphère et droits fondamentaux reflète une situation inédite des humains relativement à leur habitat : de par leur masse et leur mode de vie, ils commencent de menacer l'équilibre de la biosphère, oubliant qu'elle recèle leurs propres conditions d'existence. Nous sommes ainsi rendus vitalement solidaires de la biosphère, laquelle a cessé de nous environner pour nous englober. Après avoir esquissé la généalogie de la notion de biosphère et le surcroît de lucidité qu'elle nous apporte en nous restituant à notre finitude, philosophes, éthiciens et juristes dialoguent en vue de saisir les principaux ressorts d'action propres à assumer notre rapport, en voie de renouvellement, à la nature.
La gravité de la menace et l'urgence des mesures commandaient de s'en tenir à une approche pragmatique : qu'est-ce ce qui se fait aujourd'hui, et qu'entreprendre qui demeure à la portée des hommes incarnés, ici et maintenant ? L'analyse des leviers éthico-juridiques concrets en " préservation " de la biosphère s'étend du biocentrisme, assumé par la " dignité de la créature " mais controversé, au droit à un environnement sain voire à des devoirs de l'homme en abstention de pollution, en passant par les moyens de droit public interne, particulièrement le contrôle des politiques publiques, et ceux de droit privé, nationaux et européen, en matière de gestion des dommages environnementaux transfrontières.
La tâche s'éprouve colossale, les instruments modestes... ne rien entreprendre, coupable.
La gravité de la menace et l'urgence des mesures commandaient de s'en tenir à une approche pragmatique : qu'est-ce ce qui se fait aujourd'hui, et qu'entreprendre qui demeure à la portée des hommes incarnés, ici et maintenant ? L'analyse des leviers éthico-juridiques concrets en " préservation " de la biosphère s'étend du biocentrisme, assumé par la " dignité de la créature " mais controversé, au droit à un environnement sain voire à des devoirs de l'homme en abstention de pollution, en passant par les moyens de droit public interne, particulièrement le contrôle des politiques publiques, et ceux de droit privé, nationaux et européen, en matière de gestion des dommages environnementaux transfrontières.
La tâche s'éprouve colossale, les instruments modestes... ne rien entreprendre, coupable.