Avec la cavalerie du comte de Pahlen, contre Napoléon. Mémoires (1806-1815)

Par : Eduard von Löwenstern

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 4 juillet et le 16 juillet
      Cet article doit être commandé chez un fournisseur. Votre colis vous sera expédié 8 à 17 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages284
  • PrésentationBroché
  • Poids0.439 kg
  • Dimensions14,0 cm × 23,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-940523-03-0
  • EAN9782940523030
  • Date de parution23/01/2014
  • ÉditeurEditions des Syrtes
  • Directeur de publicationGeorges Wrangel
  • TraducteurOlivier Mannoni
  • TraducteurFrançoise Mancip-Renaudie

Résumé

La famille von Löwenstern, d'origine balte, fournit pendant plusieurs siècles aux armées russes bon nombre d'officiers prestigieux. Eduard (1790-1837), le cadet de six frères, général-major, occupa les fonctions d'aide de camp du général de cavalerie Peter von der Pahlen. L'un des plus brillants commandants de la cavalerie russe, Peter von der Pahlen sauva l'armée du tsar à Vitebsk, en juillet 1812, lors du repli devant Napoléon, et dirigea la cavalerie d'avant-garde en 1813 et 1814.
Il remporta ensuite la victoire près de Fère-Champenoise, et prit d'assaut la Barrière du Trône lors de la bataille de Paris. Ultérieurement, il dirigea, de 1835 à 1841, l'ambassade russe à Paris. Les Mémoires d'Eduard von Lôwenstern, dont la rédaction commença en 1814, sont une description minutieuse de l'Europe du début du XIXe siècle et un exposé militaire de premier ordre. Grâce à l'incontestable talent de conteur de l'auteur, ils donnent une forte impression d'authenticité morale.
La passion de Löwenstern pour le métier des armes s'exprime avec force, mais les descriptions crues des atrocités de la guerre ne sont pas moins sincères et portent le sceau d'une vérité sans masque ; authentique également, la morgue exagérée que lui donnait son rang et qu'expliquent l'époque et les conditions dans lesquelles il vivait. Ce document est aussi et surtout un étonnant récit d'aventures vécues par un personnage haut en couleur et en panache, amateur de femmes et de duels.
La famille von Löwenstern, d'origine balte, fournit pendant plusieurs siècles aux armées russes bon nombre d'officiers prestigieux. Eduard (1790-1837), le cadet de six frères, général-major, occupa les fonctions d'aide de camp du général de cavalerie Peter von der Pahlen. L'un des plus brillants commandants de la cavalerie russe, Peter von der Pahlen sauva l'armée du tsar à Vitebsk, en juillet 1812, lors du repli devant Napoléon, et dirigea la cavalerie d'avant-garde en 1813 et 1814.
Il remporta ensuite la victoire près de Fère-Champenoise, et prit d'assaut la Barrière du Trône lors de la bataille de Paris. Ultérieurement, il dirigea, de 1835 à 1841, l'ambassade russe à Paris. Les Mémoires d'Eduard von Lôwenstern, dont la rédaction commença en 1814, sont une description minutieuse de l'Europe du début du XIXe siècle et un exposé militaire de premier ordre. Grâce à l'incontestable talent de conteur de l'auteur, ils donnent une forte impression d'authenticité morale.
La passion de Löwenstern pour le métier des armes s'exprime avec force, mais les descriptions crues des atrocités de la guerre ne sont pas moins sincères et portent le sceau d'une vérité sans masque ; authentique également, la morgue exagérée que lui donnait son rang et qu'expliquent l'époque et les conditions dans lesquelles il vivait. Ce document est aussi et surtout un étonnant récit d'aventures vécues par un personnage haut en couleur et en panache, amateur de femmes et de duels.