Aux villes saintes de l'Islam. Suivi d'un document inédit "Notes de mon voyage à La Mecque"
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.36 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-86645-858-4
- EAN9782866458584
- Date de parution13/04/2017
- CollectionLes marches du temps
- ÉditeurFélin (Editions du)
- AnnotateurLuc Chantre
Résumé
En octobre 1913, l'officier algérien Mohamed Ben Cherif s'embarque pour La Mecque afin d'accomplir son pèlerinage. Sobrement intitulé aux Villes Saintes de l'Islam, son récit de pèlerinage est l'un des tout premiers textes écrits et publiés en langue française par un musulman d'Algérie. Servi par un style alerte et poétique à la fois, ce récit dresse le tableau du dernier grand pèlerinage de l'Empire ottoman avant la Première Guerre mondiale.
L'auteur nous dévoile un monde en pleine effervescence, où de nombreux musulmans cherchent à fuir la colonisation pour se réfugier en Syrie ou à Médine. C'est dans ce contexte que Ben Cherif fut chargé par le gouvernement général d'Alger d'une mission politique : celle d'enquêter sur le devenir de ses compatriotes ayant fait le choix de partir en Syrie. Resté inédit jusqu'à ce jour, le rapport d'information rédigé par Ben Cherif a la veille de la Grande Guerre nous permet de mieux saisir la réalité de son pèlerinage en même temps qu'il constitue une source de première main pour comprendre les motivations et les conditions de vie des exilés algériens en Orient, leurs espoirs mais aussi leurs désillusions.
L'auteur nous dévoile un monde en pleine effervescence, où de nombreux musulmans cherchent à fuir la colonisation pour se réfugier en Syrie ou à Médine. C'est dans ce contexte que Ben Cherif fut chargé par le gouvernement général d'Alger d'une mission politique : celle d'enquêter sur le devenir de ses compatriotes ayant fait le choix de partir en Syrie. Resté inédit jusqu'à ce jour, le rapport d'information rédigé par Ben Cherif a la veille de la Grande Guerre nous permet de mieux saisir la réalité de son pèlerinage en même temps qu'il constitue une source de première main pour comprendre les motivations et les conditions de vie des exilés algériens en Orient, leurs espoirs mais aussi leurs désillusions.
En octobre 1913, l'officier algérien Mohamed Ben Cherif s'embarque pour La Mecque afin d'accomplir son pèlerinage. Sobrement intitulé aux Villes Saintes de l'Islam, son récit de pèlerinage est l'un des tout premiers textes écrits et publiés en langue française par un musulman d'Algérie. Servi par un style alerte et poétique à la fois, ce récit dresse le tableau du dernier grand pèlerinage de l'Empire ottoman avant la Première Guerre mondiale.
L'auteur nous dévoile un monde en pleine effervescence, où de nombreux musulmans cherchent à fuir la colonisation pour se réfugier en Syrie ou à Médine. C'est dans ce contexte que Ben Cherif fut chargé par le gouvernement général d'Alger d'une mission politique : celle d'enquêter sur le devenir de ses compatriotes ayant fait le choix de partir en Syrie. Resté inédit jusqu'à ce jour, le rapport d'information rédigé par Ben Cherif a la veille de la Grande Guerre nous permet de mieux saisir la réalité de son pèlerinage en même temps qu'il constitue une source de première main pour comprendre les motivations et les conditions de vie des exilés algériens en Orient, leurs espoirs mais aussi leurs désillusions.
L'auteur nous dévoile un monde en pleine effervescence, où de nombreux musulmans cherchent à fuir la colonisation pour se réfugier en Syrie ou à Médine. C'est dans ce contexte que Ben Cherif fut chargé par le gouvernement général d'Alger d'une mission politique : celle d'enquêter sur le devenir de ses compatriotes ayant fait le choix de partir en Syrie. Resté inédit jusqu'à ce jour, le rapport d'information rédigé par Ben Cherif a la veille de la Grande Guerre nous permet de mieux saisir la réalité de son pèlerinage en même temps qu'il constitue une source de première main pour comprendre les motivations et les conditions de vie des exilés algériens en Orient, leurs espoirs mais aussi leurs désillusions.