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Athènes en partage. Les étrangers au sein de la cité (Ve-IIIe siècles avant notre ère)
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- Nombre de pages487
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.762 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,6 cm
- ISBN979-10-351-0840-3
- EAN9791035108403
- Date de parution05/01/2023
- CollectionHistoire ancienne et médiévale
- ÉditeurEditions de la Sorbonne
Résumé
Ce livre présente, de manière renouvelée, la place des étrangers dans la société athénienne des époques classique et hellénistique. Si la place des étrangers dans le commerce et leurs statuts juridiques avait été bien étudiée, ce livre explore d'autres aspects de la vie des étrangers en Attique. Longtemps pensés comme des exclus, la perspective adoptée est celle de penser davantage les étrangers par le prisme de leur inclusion dans les relations sociales au sein de la cité.
A travers des moments (réunions religieuses en l'honneur de la déesse Bendis, activités professionnelles, etc.) et des lieux (agora, ports, le long des routes et des cimetières) où étrangers et citoyens se côtoient et forment société ensemble. Le but était aussi de questionner les habituelles césures historiques (notamment celle entre les époques classique et hellénistique) et leur pertinence lorsque l'historien s'intéresse davantage aux groupes sociaux.
L'usage des méthodes de la micro-histoire et l'adaptation, raisonnée, de méthodes de la sociologie, ont permis ainsi, entre autres, de renouveler les questionnements. Le tableau présenté par cet ouvrage, par le croisement de sources de nature très différentes (littéraires, épigraphiques, archéologiques), permet ainsi de dépasser la figure des étrangers construite par l'historiographie, et de mettre en lumière que, in fine, certains étrangers n'apparaissent pas comme des exclus, bien au contraire, puisqu'ils participent à la constitution de communautés - souvent infra-civiques -, mais aussi à la constitution d'un paysage commun.
A travers des moments (réunions religieuses en l'honneur de la déesse Bendis, activités professionnelles, etc.) et des lieux (agora, ports, le long des routes et des cimetières) où étrangers et citoyens se côtoient et forment société ensemble. Le but était aussi de questionner les habituelles césures historiques (notamment celle entre les époques classique et hellénistique) et leur pertinence lorsque l'historien s'intéresse davantage aux groupes sociaux.
L'usage des méthodes de la micro-histoire et l'adaptation, raisonnée, de méthodes de la sociologie, ont permis ainsi, entre autres, de renouveler les questionnements. Le tableau présenté par cet ouvrage, par le croisement de sources de nature très différentes (littéraires, épigraphiques, archéologiques), permet ainsi de dépasser la figure des étrangers construite par l'historiographie, et de mettre en lumière que, in fine, certains étrangers n'apparaissent pas comme des exclus, bien au contraire, puisqu'ils participent à la constitution de communautés - souvent infra-civiques -, mais aussi à la constitution d'un paysage commun.
Ce livre présente, de manière renouvelée, la place des étrangers dans la société athénienne des époques classique et hellénistique. Si la place des étrangers dans le commerce et leurs statuts juridiques avait été bien étudiée, ce livre explore d'autres aspects de la vie des étrangers en Attique. Longtemps pensés comme des exclus, la perspective adoptée est celle de penser davantage les étrangers par le prisme de leur inclusion dans les relations sociales au sein de la cité.
A travers des moments (réunions religieuses en l'honneur de la déesse Bendis, activités professionnelles, etc.) et des lieux (agora, ports, le long des routes et des cimetières) où étrangers et citoyens se côtoient et forment société ensemble. Le but était aussi de questionner les habituelles césures historiques (notamment celle entre les époques classique et hellénistique) et leur pertinence lorsque l'historien s'intéresse davantage aux groupes sociaux.
L'usage des méthodes de la micro-histoire et l'adaptation, raisonnée, de méthodes de la sociologie, ont permis ainsi, entre autres, de renouveler les questionnements. Le tableau présenté par cet ouvrage, par le croisement de sources de nature très différentes (littéraires, épigraphiques, archéologiques), permet ainsi de dépasser la figure des étrangers construite par l'historiographie, et de mettre en lumière que, in fine, certains étrangers n'apparaissent pas comme des exclus, bien au contraire, puisqu'ils participent à la constitution de communautés - souvent infra-civiques -, mais aussi à la constitution d'un paysage commun.
A travers des moments (réunions religieuses en l'honneur de la déesse Bendis, activités professionnelles, etc.) et des lieux (agora, ports, le long des routes et des cimetières) où étrangers et citoyens se côtoient et forment société ensemble. Le but était aussi de questionner les habituelles césures historiques (notamment celle entre les époques classique et hellénistique) et leur pertinence lorsque l'historien s'intéresse davantage aux groupes sociaux.
L'usage des méthodes de la micro-histoire et l'adaptation, raisonnée, de méthodes de la sociologie, ont permis ainsi, entre autres, de renouveler les questionnements. Le tableau présenté par cet ouvrage, par le croisement de sources de nature très différentes (littéraires, épigraphiques, archéologiques), permet ainsi de dépasser la figure des étrangers construite par l'historiographie, et de mettre en lumière que, in fine, certains étrangers n'apparaissent pas comme des exclus, bien au contraire, puisqu'ils participent à la constitution de communautés - souvent infra-civiques -, mais aussi à la constitution d'un paysage commun.
