Antoine Villard (1867-1934). Un indépendant au service de l'art

Par : Lamia Guillaume
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  • Nombre de pages120
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.644 kg
  • Dimensions21,1 cm × 29,6 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-94-6161-506-0
  • EAN9789461615060
  • Date de parution29/11/2018
  • ÉditeurSnoeck - Gent
  • PréfacierJean-Patrick Courtois
  • PréfacierFrançois-Xavier Villain

Résumé

Présentant les principales thématiques qui ont rythmé Pauvre d'Antoine Villard, la rétrospective qui lui est dédiée au musée des Ursulines à Mâcon, puis au musée des beaux-arts de Cambrai, révèle un aspect méconnu du peintre : doté d'une insatiable curiosité, il expérimente certains des courants artistiques qui émergent à la fin du XIXe siècle. Son approche du paysage, marquée par une formation initiale à l'architecture, témoigne d'une personnalité en quête de renouveau.
Par son ouverture aux différentes productions artistiques qu'il côtoie et sa pratique de collectionneur, il cherche assidûment à promouvoir les talents qu'il découvre. Ces spécificités n'ont pas échappé au conservateur du musée de Cambrai, qui, dans les années 1930, consacra au peintre une salle entière réunissant les oeuvres de la donation.
Présentant les principales thématiques qui ont rythmé Pauvre d'Antoine Villard, la rétrospective qui lui est dédiée au musée des Ursulines à Mâcon, puis au musée des beaux-arts de Cambrai, révèle un aspect méconnu du peintre : doté d'une insatiable curiosité, il expérimente certains des courants artistiques qui émergent à la fin du XIXe siècle. Son approche du paysage, marquée par une formation initiale à l'architecture, témoigne d'une personnalité en quête de renouveau.
Par son ouverture aux différentes productions artistiques qu'il côtoie et sa pratique de collectionneur, il cherche assidûment à promouvoir les talents qu'il découvre. Ces spécificités n'ont pas échappé au conservateur du musée de Cambrai, qui, dans les années 1930, consacra au peintre une salle entière réunissant les oeuvres de la donation.