& (And) Tome 1

Secrétaire médicale intérimaire le jour, Kaoru n’a jamais eu de vraies relations amoureuses : elle déteste être touchée par d’autres. Mais elle veut changer ça et décide de réliser son rêve en ouvrant un salon de manucure pour les femmes qui n’ont pas le temps le soir. Est-ce enfin la chance de prendre son envol, ou bien de rester à terre à jamais. Une nouveauté Kana comme ils savent si bien le faire, dans leur collection life. C’est la surprise de ce premier trimestre, série finie en 8 tomes au Japon, qui aborde la complexité de la société, des relations humaines mais aussi des peurs, même à 26 ans, et de la vie en général, qui nous pose la question : sommes-nous maître de notre vie ou bien laissons-nous les autres la façonner ?

Kaoru, jeune japonaise de 26 ans, est sur le point de réaliser son rêve après une longue période faite d'inquiétudes, de remises en questions et de bâtons dans les roues. Grâce à ses retrouvailles (peut-être pas si hasardeuses) avec un vieil ami, elle va enfin pouvoir ouvrir son propre salon de manucure ! En parallèle, c'est aussi pour elle le moment de s'ouvrir aux autres, et aussi de tomber véritablement amoureuse pour la première fois... Mari Okazaki, mangaka de renom des années 90-2000 revient aujourd'hui avec un manga dans la lignée de ses précédents ouvrages, et avec des thèmes qui lui sont chers : condition de la femme au Japon, premiers émois, et vie de tous les jours... un manga qui touchera forcément les jeunes 25-30 ans.

Kaoru Aoki est une jeune secrétaire médicale intérimaire, elle déteste être touché mais sa rencontre avec le chirurgien Kôga Yagai va changer la donne. Un jour elle décide de réaliser son rêve : ouvrir un salon de manucure le soir pour que les femmes actives puissent décompresser. Mari Okazaki signe ici son grand retour avec les thèmes qui lui sont chers : le monde du travail, la place des femmes dans la société japonaise, des êtres humains imparfaits. La beauté de son dessin laisse le lecteur vagabonder et donne la sensation d'un temps figé et emprunt de nostalgie.