Amiens. Les verrières de la cathédrale
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 1 juillet et le 2 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 1 juillet et le 2 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages48
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.27 kg
- Dimensions21,0 cm × 29,5 cm × 0,4 cm
- ISBN2-906340-51-0
- EAN9782906340510
- Date de parution01/09/2003
- CollectionImages du Patrimoine
- ÉditeurAgir-Pic
- Directeur de publicationMartine Plouvier
Résumé
Chef d'un ivre de l'art rayonnant inscrit au patrimoine mondial depuis 1981, la cathédrale Notre-Darne d'Amiens a conservé une parure vitrée exceptionnelle, irradiant au coeur de son vaisseau élancé une lumière aux couleurs chatoyantes. La châsse de verre consfimée par l'ensemble tics verrières en place, mais aussi les panneaux, plus méconnus, conserves au dépôt des Monuments historiques à Champs-sur-Marne et à l'étranger, méritent l'attention des fideles, des curieux et des passionnés de beauté autant que celle des spécialistes.
Leur originalité, dans l'histoire de la peinture sur verre, témoigne de l'activité artistique et de la vitalité économique de la Picardie au xnv siècle, dominées par la production de draps et l'industrie de la guède (le pastel). Les ressources financières considérables réunies par l'évêque, les chanoines du chapitre cathédral et les corporations ont permis aux maures verriers invités à ocovrer dans l'édifice, d'y faire figurer avec le nubile savoir-faire yri à Paris, Beauvais, ou Tours les gestes quotidiens du travail, offrandes à la Vierge et aux saints tutélaires de la cité.
Les timaux de la cathédrale, sou cesse enrichis jusqu'au xvr siècle, ont connu au xiiI siècle un important renouvellement, révélateur des modes de restaurations mené,. sous l'égide d'Eugène Viollet-le-Duc, prolongé jusqu'à r os jours par de flamboyantes créations contemporaines. L'ouvrage présente également des inédites des panneaux sauvés en 1920 nde l'incendie de l'atelier où ils étaient entreposes avant remontage.
Ces pièces anciennes d'un patrimoine prestigieux, que les Amiénois n'ont pas eu la joie de contempler depuis la Grande Guerre, reprennent place peu à peu dans les verrières de la cathédrale.
Leur originalité, dans l'histoire de la peinture sur verre, témoigne de l'activité artistique et de la vitalité économique de la Picardie au xnv siècle, dominées par la production de draps et l'industrie de la guède (le pastel). Les ressources financières considérables réunies par l'évêque, les chanoines du chapitre cathédral et les corporations ont permis aux maures verriers invités à ocovrer dans l'édifice, d'y faire figurer avec le nubile savoir-faire yri à Paris, Beauvais, ou Tours les gestes quotidiens du travail, offrandes à la Vierge et aux saints tutélaires de la cité.
Les timaux de la cathédrale, sou cesse enrichis jusqu'au xvr siècle, ont connu au xiiI siècle un important renouvellement, révélateur des modes de restaurations mené,. sous l'égide d'Eugène Viollet-le-Duc, prolongé jusqu'à r os jours par de flamboyantes créations contemporaines. L'ouvrage présente également des inédites des panneaux sauvés en 1920 nde l'incendie de l'atelier où ils étaient entreposes avant remontage.
Ces pièces anciennes d'un patrimoine prestigieux, que les Amiénois n'ont pas eu la joie de contempler depuis la Grande Guerre, reprennent place peu à peu dans les verrières de la cathédrale.
Chef d'un ivre de l'art rayonnant inscrit au patrimoine mondial depuis 1981, la cathédrale Notre-Darne d'Amiens a conservé une parure vitrée exceptionnelle, irradiant au coeur de son vaisseau élancé une lumière aux couleurs chatoyantes. La châsse de verre consfimée par l'ensemble tics verrières en place, mais aussi les panneaux, plus méconnus, conserves au dépôt des Monuments historiques à Champs-sur-Marne et à l'étranger, méritent l'attention des fideles, des curieux et des passionnés de beauté autant que celle des spécialistes.
Leur originalité, dans l'histoire de la peinture sur verre, témoigne de l'activité artistique et de la vitalité économique de la Picardie au xnv siècle, dominées par la production de draps et l'industrie de la guède (le pastel). Les ressources financières considérables réunies par l'évêque, les chanoines du chapitre cathédral et les corporations ont permis aux maures verriers invités à ocovrer dans l'édifice, d'y faire figurer avec le nubile savoir-faire yri à Paris, Beauvais, ou Tours les gestes quotidiens du travail, offrandes à la Vierge et aux saints tutélaires de la cité.
Les timaux de la cathédrale, sou cesse enrichis jusqu'au xvr siècle, ont connu au xiiI siècle un important renouvellement, révélateur des modes de restaurations mené,. sous l'égide d'Eugène Viollet-le-Duc, prolongé jusqu'à r os jours par de flamboyantes créations contemporaines. L'ouvrage présente également des inédites des panneaux sauvés en 1920 nde l'incendie de l'atelier où ils étaient entreposes avant remontage.
Ces pièces anciennes d'un patrimoine prestigieux, que les Amiénois n'ont pas eu la joie de contempler depuis la Grande Guerre, reprennent place peu à peu dans les verrières de la cathédrale.
Leur originalité, dans l'histoire de la peinture sur verre, témoigne de l'activité artistique et de la vitalité économique de la Picardie au xnv siècle, dominées par la production de draps et l'industrie de la guède (le pastel). Les ressources financières considérables réunies par l'évêque, les chanoines du chapitre cathédral et les corporations ont permis aux maures verriers invités à ocovrer dans l'édifice, d'y faire figurer avec le nubile savoir-faire yri à Paris, Beauvais, ou Tours les gestes quotidiens du travail, offrandes à la Vierge et aux saints tutélaires de la cité.
Les timaux de la cathédrale, sou cesse enrichis jusqu'au xvr siècle, ont connu au xiiI siècle un important renouvellement, révélateur des modes de restaurations mené,. sous l'égide d'Eugène Viollet-le-Duc, prolongé jusqu'à r os jours par de flamboyantes créations contemporaines. L'ouvrage présente également des inédites des panneaux sauvés en 1920 nde l'incendie de l'atelier où ils étaient entreposes avant remontage.
Ces pièces anciennes d'un patrimoine prestigieux, que les Amiénois n'ont pas eu la joie de contempler depuis la Grande Guerre, reprennent place peu à peu dans les verrières de la cathédrale.