Je me faisais une joie de replonger dans la prose de Stephen King pour une intrigue autour du plus grand mystère du XXe siècle : l'assassinat de JFK.
Mais que je me suis ennuyée pendant plus de 1 000 pages......
Oui, il faut que l'écrivain pose les bases de son histoire et des tenants et des aboutissants du voyage dans le temps tel qu'il nous le présente : mais sur plus de 400 pages avant d'arriver au sujet qui m'intéresse, c'est long.
Enfin, le coeur du roman arrive. Bon. Mais moi, les séries américaines des années 60, je ne les connais pas, alors quand il y a des comparaisons à chaque page, ça devient rédhibitoire.
Toujours la passion américaine pour les voitures, et là, ça me passe carrément au-dessus.
Tout de même, j'ai appris deux-trois détails sur Lee Harvey Oswald : son rapport compliqué avec sa maman ; son amitié avec un certain George de Mohrenschildt ; sa psychologie, un peu.
Sur sa femme, également, émigrée Biélorusse et belle femme, qui a eut deux filles avec Lee Harvey. Vivant toujours au Texas.
Et puis l'auteur envisage les futurs élections avec Kennedy et les suivants : aurait-il été ré-élu ? Mais bon, on se doute de la réponse.
Au final, pas de révélation fracassante sur cet assassinat. Juste un roman américain sur les années 60.
L'image que je retiendrai :
Celle de George revenant dans le présent après avoir sauvé Kennedy pour découvrir un monde dévasté.
http://motamots.canalblog.com/archives/2015/01/03/31219127.html
Je me faisais une joie de replonger dans la prose de Stephen King pour une intrigue autour du plus grand mystère du XXe siècle : l'assassinat de JFK.
Mais que je me suis ennuyée pendant plus de 1 000 pages......
Oui, il faut que l'écrivain pose les bases de son histoire et des tenants et des aboutissants du voyage dans le temps tel qu'il nous le présente : mais sur plus de 400 pages avant d'arriver au sujet qui m'intéresse, c'est long.
Enfin, le coeur du roman arrive. Bon. Mais moi, les séries américaines des années 60, je ne les connais pas, alors quand il y a des comparaisons à chaque page, ça devient rédhibitoire.
Toujours la passion américaine pour les voitures, et là, ça me passe carrément au-dessus.
Tout de même, j'ai appris deux-trois détails sur Lee Harvey Oswald : son rapport compliqué avec sa maman ; son amitié avec un certain George de Mohrenschildt ; sa psychologie, un peu.
Sur sa femme, également, émigrée Biélorusse et belle femme, qui a eut deux filles avec Lee Harvey. Vivant toujours au Texas.
Et puis l'auteur envisage les futurs élections avec Kennedy et les suivants : aurait-il été ré-élu ? Mais bon, on se doute de la réponse.
Au final, pas de révélation fracassante sur cet assassinat. Juste un roman américain sur les années 60.
L'image que je retiendrai :
Celle de George revenant dans le présent après avoir sauvé Kennedy pour découvrir un monde dévasté.
http://motamots.canalblog.com/archives/2015/01/03/31219127.html