Correspondance. 1912-1914

Par : Madame Simone, Claude Sicard, Alain-Fournier

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  • Nombre de pages348
  • PrésentationBroché
  • Poids0.394 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-213-02998-9
  • EAN9782213029986
  • Date de parution01/12/1992
  • ÉditeurFayard

Résumé

Aujourd'hui qu'il ne reste plus aucun protagoniste de la vive querelle qui opposa longtemps la soeur d'Alain-Fournier à sa maîtresse, Madame Simone, leurs héritiers se sont rejoints dans la plus parfaite harmonie de pensée et de coeur pour publier ces lettres d'amour, restées jusqu'à présent inédites. Malgré les lacunes de cette correspondance, dues à l'érosion du temps et peut-être à la passion des collectionneurs, les héritiers espèrent que ces lettres, présentées et annotées par l'un de nos meilleurs érudits de la période d'avant 1914, Claude Sicard, seront reçues par le lecteur comme l'ultime témoignage d'un souci de vérité et d'objectivité qui ne s'est jamais démenti depuis plus de soixante-dix ans.
Sans que le "mythe" du Grand Meaulnes en souffre, son auteur n'en apparaîtra que plus humain d'avoir connu la réalité d'une passion dévorante après avoir tourné la page de son adolescence : "La nuit du Sacre, écrit Alain-Fournier, j'ai vu qu'une chose était finie dans ma vie et qu'une autre commençait, admirable, plus belle que tout, mais terrible, et peut-être mortelle.
Aujourd'hui qu'il ne reste plus aucun protagoniste de la vive querelle qui opposa longtemps la soeur d'Alain-Fournier à sa maîtresse, Madame Simone, leurs héritiers se sont rejoints dans la plus parfaite harmonie de pensée et de coeur pour publier ces lettres d'amour, restées jusqu'à présent inédites. Malgré les lacunes de cette correspondance, dues à l'érosion du temps et peut-être à la passion des collectionneurs, les héritiers espèrent que ces lettres, présentées et annotées par l'un de nos meilleurs érudits de la période d'avant 1914, Claude Sicard, seront reçues par le lecteur comme l'ultime témoignage d'un souci de vérité et d'objectivité qui ne s'est jamais démenti depuis plus de soixante-dix ans.
Sans que le "mythe" du Grand Meaulnes en souffre, son auteur n'en apparaîtra que plus humain d'avoir connu la réalité d'une passion dévorante après avoir tourné la page de son adolescence : "La nuit du Sacre, écrit Alain-Fournier, j'ai vu qu'une chose était finie dans ma vie et qu'une autre commençait, admirable, plus belle que tout, mais terrible, et peut-être mortelle.