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Barberousse
Surnommé Barberousse, le docteur Kyojô Niide est un personnage bourru et haut en couleur. Il dirige son dispensaire d'une main de fer et soigne les plus démunis des bas quartiers d'Edo. Fraîchement émoulu d'une école de médecine hollandaise, Noboru Yasumoto, qui rêve d'une carrière prestigieuse, se voit affecté à son grand dam au service de Barberousse et de ses patients : Oyumi, la nymphomane qui tue ses amants, Ino le charpentier qui se fiance compulsivement, ou le petit Chôji qui vole pour nourrir sa famille...
Ce roman d'initiation profondément humaniste est une plongée dans les bas-fonds de la société japonaise du XIXe siècle. Auteur prolifique, Yamamoto Shûgorô (1903-1967) refusa le prestigieux prix Naoki en 1943. Il signa avec Barberousse en 1964 une de ses oeuvres les plus abouties.
Ce roman d'initiation profondément humaniste est une plongée dans les bas-fonds de la société japonaise du XIXe siècle. Auteur prolifique, Yamamoto Shûgorô (1903-1967) refusa le prestigieux prix Naoki en 1943. Il signa avec Barberousse en 1964 une de ses oeuvres les plus abouties.
Surnommé Barberousse, le docteur Kyojô Niide est un personnage bourru et haut en couleur. Il dirige son dispensaire d'une main de fer et soigne les plus démunis des bas quartiers d'Edo. Fraîchement émoulu d'une école de médecine hollandaise, Noboru Yasumoto, qui rêve d'une carrière prestigieuse, se voit affecté à son grand dam au service de Barberousse et de ses patients : Oyumi, la nymphomane qui tue ses amants, Ino le charpentier qui se fiance compulsivement, ou le petit Chôji qui vole pour nourrir sa famille...
Ce roman d'initiation profondément humaniste est une plongée dans les bas-fonds de la société japonaise du XIXe siècle. Auteur prolifique, Yamamoto Shûgorô (1903-1967) refusa le prestigieux prix Naoki en 1943. Il signa avec Barberousse en 1964 une de ses oeuvres les plus abouties.
Ce roman d'initiation profondément humaniste est une plongée dans les bas-fonds de la société japonaise du XIXe siècle. Auteur prolifique, Yamamoto Shûgorô (1903-1967) refusa le prestigieux prix Naoki en 1943. Il signa avec Barberousse en 1964 une de ses oeuvres les plus abouties.
