Gérard Dédéyan

Dernière sortie

Les chemins de ma vie

"Je suis membre de la grande et prospère famille Kehya Khatchoyan de Tchenkouch ; nous étions si nombreux que nous disposions de notre propre rue" : ainsi débutent Les Chemins de ma vie. Né en 1895, Kaspar Menak, qui avait émigré aux Etats-Unis en 1912 pour rejoindre onze de ses cousins déjà installés dans le Nouveau Monde, perd ses deux parents et l'intégralité de sa fratrie en 1915, lors de l'extermination de la population arménienne de l'Empire ottoman par les Jeunes-Turcs. Le voici minak, tout seul, comme le lui répètent ses cousins ; il en tirera son patronyme, et prendra la plume pour raconter son histoire, tout particulièrement les quatre années de son engagement dans la Légion arménienne de 1917 à 1920 et les batailles menées avec ses compagnons d'arme à Jihan, Ishlahié et Marach - "parce que le sang de mes proches appelait vengeance. Je ne pouvais rester insensible devant cette tragédie et continuer à vivre comme si rien ne s'était passé". Le présent ouvrage est la traduction française de ses mémoires, dont l'édition originale, en langue arménienne, était parue à Beyrouth en 1968, enrichie d'événements relatifs à l'histoire tragique de la nation arménienne et de documents et photographies.
"Je suis membre de la grande et prospère famille Kehya Khatchoyan de Tchenkouch ; nous étions si nombreux que nous disposions de notre propre rue" : ainsi débutent Les Chemins de ma vie. Né en 1895, Kaspar Menak, qui avait émigré aux Etats-Unis en 1912 pour rejoindre onze de ses cousins déjà installés dans le Nouveau Monde, perd ses deux parents et l'intégralité de sa fratrie en 1915, lors de l'extermination de la population arménienne de l'Empire ottoman par les Jeunes-Turcs. Le voici minak, tout seul, comme le lui répètent ses cousins ; il en tirera son patronyme, et prendra la plume pour raconter son histoire, tout particulièrement les quatre années de son engagement dans la Légion arménienne de 1917 à 1920 et les batailles menées avec ses compagnons d'arme à Jihan, Ishlahié et Marach - "parce que le sang de mes proches appelait vengeance. Je ne pouvais rester insensible devant cette tragédie et continuer à vivre comme si rien ne s'était passé". Le présent ouvrage est la traduction française de ses mémoires, dont l'édition originale, en langue arménienne, était parue à Beyrouth en 1968, enrichie d'événements relatifs à l'histoire tragique de la nation arménienne et de documents et photographies.

Les livres de Gérard Dédéyan

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39,00 €