Vérités officielles. Comment s'écrit l'histoire de la Seconde Guerre mondiale

Par : Jean-Baptiste Pattier

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  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • Poids0.28 kg
  • Dimensions14,5 cm × 20,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-36358-042-9
  • EAN9782363580429
  • Date de parution05/09/2012
  • CollectionEnquêtes
  • ÉditeurVendémiaire

Résumé

Le massacre de Katyn, en Pologne, où 22 000 officiers polonais ont été mis à mort, a longtemps été attribué par les Russes, siégeant au tribunal de Nuremberg, aux Allemands ; il était en réalité le fait de la police politique de Staline. C’est l’un des exemples les plus connus des manipulations et des mensonges auxquels ont pu donner lieu les tragédies de la Deuxième Guerre mondiale. Au-delà de ce cas précis, la difficulté que rencontrent certains pays à reconnaître l’extermination des tziganes, les polémiques sur l’appellation de « crimes nazis » ou « crimes de la Wehrmacht », l’embarras face à l’ampleur des bombardements alliés frappant des populations civiles, de Dresde à Hiroshima, illustrent, à travers des questions de qualification qui sont déterminantes, tout le chemin qui reste à parcourir pour que l’on parvienne à élaborer une culture et une conscience communes du conflit, élargies à l’ensemble de l’espace européen.
Ligne de clivage au sein des sociétés européennes elles-mêmes, ligne de faille entre les nations, dont les frontières ont pu se trouver redessinées à cette occasion, dans un contexte qui avait vu des centaines de milliers de personnes déplacées ou transférées, la Seconde Guerre mondiale est encore l’ultime référent de notre époque, l’argument de tous les ostracismes et tous les préjugés. Pour mener à bien cette idée, l’auteur a compulsé plus de 300 manuels, représentant neuf pays de l’Union européenne : Allemagne, Angleterre, Autriche, Belgique, Bulgarie, France, Italie, Lituanie et Pologne.
Le massacre de Katyn, en Pologne, où 22 000 officiers polonais ont été mis à mort, a longtemps été attribué par les Russes, siégeant au tribunal de Nuremberg, aux Allemands ; il était en réalité le fait de la police politique de Staline. C’est l’un des exemples les plus connus des manipulations et des mensonges auxquels ont pu donner lieu les tragédies de la Deuxième Guerre mondiale. Au-delà de ce cas précis, la difficulté que rencontrent certains pays à reconnaître l’extermination des tziganes, les polémiques sur l’appellation de « crimes nazis » ou « crimes de la Wehrmacht », l’embarras face à l’ampleur des bombardements alliés frappant des populations civiles, de Dresde à Hiroshima, illustrent, à travers des questions de qualification qui sont déterminantes, tout le chemin qui reste à parcourir pour que l’on parvienne à élaborer une culture et une conscience communes du conflit, élargies à l’ensemble de l’espace européen.
Ligne de clivage au sein des sociétés européennes elles-mêmes, ligne de faille entre les nations, dont les frontières ont pu se trouver redessinées à cette occasion, dans un contexte qui avait vu des centaines de milliers de personnes déplacées ou transférées, la Seconde Guerre mondiale est encore l’ultime référent de notre époque, l’argument de tous les ostracismes et tous les préjugés. Pour mener à bien cette idée, l’auteur a compulsé plus de 300 manuels, représentant neuf pays de l’Union européenne : Allemagne, Angleterre, Autriche, Belgique, Bulgarie, France, Italie, Lituanie et Pologne.
Les animaux héros de l'Histoire
Jean-Baptiste Pattier, Emmanuel Chaunu
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