De la souveraineté numérique. Guerres de puissance dans le cyberespace
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- Nombre de pages206
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.246 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-336-53077-2
- EAN9782336530772
- Date de parution03/07/2025
- CollectionCommunication et Civilisation
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La souveraineté numérique est relative au pouvoir et à la capacité d'un Etat à réglementer et contrôler l'infrastructure et les usages que ses citoyens font des technologies numériques. Une telle capacité est d'autant plus interpellée que ces technologies sont non seulement tentaculaires et décentralisées, mais aussi de plus en plus globalisées. Accolée à la notion de numérique, la souveraineté se traduit par le fait que l'Etat, en tant qu'autorité suprême, assoie et exerce son pouvoir légitime sur les trois grands maillons du cyberespace : matérielle, logique et sémantique.
Le numérique est de nos jours, un véritable champ de bataille. Il met de plus en plus en jeu des Etats souverains, directement ou par grands acteurs privés interposés. La montée en puissance de ces derniers s'est rapidement traduite par la constitution de pôles oligopolistiques d'une portée planétaire. La notion de souveraineté se trouve dans ce cas d'espèce, mise en doute et fort aliénée de surcroît, d'abord par une interconnexion grandissante des marchés, puis par une transnationalisation sans précédent des chaînes de valeur.
Le numérique est de nos jours, un véritable champ de bataille. Il met de plus en plus en jeu des Etats souverains, directement ou par grands acteurs privés interposés. La montée en puissance de ces derniers s'est rapidement traduite par la constitution de pôles oligopolistiques d'une portée planétaire. La notion de souveraineté se trouve dans ce cas d'espèce, mise en doute et fort aliénée de surcroît, d'abord par une interconnexion grandissante des marchés, puis par une transnationalisation sans précédent des chaînes de valeur.
La souveraineté numérique est relative au pouvoir et à la capacité d'un Etat à réglementer et contrôler l'infrastructure et les usages que ses citoyens font des technologies numériques. Une telle capacité est d'autant plus interpellée que ces technologies sont non seulement tentaculaires et décentralisées, mais aussi de plus en plus globalisées. Accolée à la notion de numérique, la souveraineté se traduit par le fait que l'Etat, en tant qu'autorité suprême, assoie et exerce son pouvoir légitime sur les trois grands maillons du cyberespace : matérielle, logique et sémantique.
Le numérique est de nos jours, un véritable champ de bataille. Il met de plus en plus en jeu des Etats souverains, directement ou par grands acteurs privés interposés. La montée en puissance de ces derniers s'est rapidement traduite par la constitution de pôles oligopolistiques d'une portée planétaire. La notion de souveraineté se trouve dans ce cas d'espèce, mise en doute et fort aliénée de surcroît, d'abord par une interconnexion grandissante des marchés, puis par une transnationalisation sans précédent des chaînes de valeur.
Le numérique est de nos jours, un véritable champ de bataille. Il met de plus en plus en jeu des Etats souverains, directement ou par grands acteurs privés interposés. La montée en puissance de ces derniers s'est rapidement traduite par la constitution de pôles oligopolistiques d'une portée planétaire. La notion de souveraineté se trouve dans ce cas d'espèce, mise en doute et fort aliénée de surcroît, d'abord par une interconnexion grandissante des marchés, puis par une transnationalisation sans précédent des chaînes de valeur.