Monsieur Faustini appartient à la lignée de ces personnages que l'on aime dès les premières lignes : simple, silencieux, faussement naïf, drôle à force d'erratiques pas. On pense au Candide de Voltaire, à Plume, de Michaux, au Lucas de Cortázar, à Marcovaldo, de Calvino, mais aussi à ces personnages inoubliables du cinéma : Charlot, Keaton, M. Hulot.
Il y a du merveilleux dans ce texte. Il y a du bonheur – celui de la lecture, certes, mais pas que. De l'air frais, aussi. De l'ouverture vers l'impossible et le renouveau.
Subtile satire du monde contemporain et de ses dérives, ce petit et savoureux roman ne décevra pas qui cherche dans la littérature – et dans la vie – l'étincelle du miracle.
Monsieur Faustini appartient à la lignée de ces personnages que l'on aime dès les premières lignes : simple, silencieux, faussement naïf, drôle à force d'erratiques pas. On pense au Candide de Voltaire, à Plume, de Michaux, au Lucas de Cortázar, à Marcovaldo, de Calvino, mais aussi à ces personnages inoubliables du cinéma : Charlot, Keaton, M. Hulot.
Il y a du merveilleux dans ce texte. Il y a du bonheur – celui de la lecture, certes, mais pas que. De l'air frais, aussi. De l'ouverture vers l'impossible et le renouveau.
Subtile satire du monde contemporain et de ses dérives, ce petit et savoureux roman ne décevra pas qui cherche dans la littérature – et dans la vie – l'étincelle du miracle.