Le corps et ses images dans l'Europe du dix-huitième siècle
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- Nombre de pages376
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.62 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-7453-2267-8
- EAN9782745322678
- Date de parution04/09/2012
- CollectionEtudes internationales 18e
- ÉditeurHonoré Champion
- PréfacierCatriona Seth
- PréfacierCaroline Warman
Résumé
Sculptures, peintures, mimes, ouvrages médicaux, philosophiques et littéraires, sont conviés afin de considérer la perception du corps au XVIIIe siècle. Le corps, on l'a souvent remarqué, est au centre du discours au XVIIIe siècle. Mais lorsqu'on en fait le sujet même d'une étude, on s'aperçoit qu'il intervient souvent pour parler d'autre chose. Qu'elles s'adressent à une élite, ou à un large public, les oeuvres font du corps un instrument ou un prétexte.
Le corps est mobilisé dans une série de rôles sollicités par des enjeux professionnels, politiques, ou gnoséologiques. Sa représentation véhicule programmes politiques, valeurs morales, et concepts philosophiques. Les interrogations sur l'être ensemble des corps, ou le devenir des corps, sont l'occasion de penser des investissements symboliques, rhétoriques, ou cognitifs. Il s'agit de considérer comment la compréhension du corps se trouve réorientée selon les mobiles divers des auteurs et des artistes.
Le corps est mobilisé dans une série de rôles sollicités par des enjeux professionnels, politiques, ou gnoséologiques. Sa représentation véhicule programmes politiques, valeurs morales, et concepts philosophiques. Les interrogations sur l'être ensemble des corps, ou le devenir des corps, sont l'occasion de penser des investissements symboliques, rhétoriques, ou cognitifs. Il s'agit de considérer comment la compréhension du corps se trouve réorientée selon les mobiles divers des auteurs et des artistes.
Sculptures, peintures, mimes, ouvrages médicaux, philosophiques et littéraires, sont conviés afin de considérer la perception du corps au XVIIIe siècle. Le corps, on l'a souvent remarqué, est au centre du discours au XVIIIe siècle. Mais lorsqu'on en fait le sujet même d'une étude, on s'aperçoit qu'il intervient souvent pour parler d'autre chose. Qu'elles s'adressent à une élite, ou à un large public, les oeuvres font du corps un instrument ou un prétexte.
Le corps est mobilisé dans une série de rôles sollicités par des enjeux professionnels, politiques, ou gnoséologiques. Sa représentation véhicule programmes politiques, valeurs morales, et concepts philosophiques. Les interrogations sur l'être ensemble des corps, ou le devenir des corps, sont l'occasion de penser des investissements symboliques, rhétoriques, ou cognitifs. Il s'agit de considérer comment la compréhension du corps se trouve réorientée selon les mobiles divers des auteurs et des artistes.
Le corps est mobilisé dans une série de rôles sollicités par des enjeux professionnels, politiques, ou gnoséologiques. Sa représentation véhicule programmes politiques, valeurs morales, et concepts philosophiques. Les interrogations sur l'être ensemble des corps, ou le devenir des corps, sont l'occasion de penser des investissements symboliques, rhétoriques, ou cognitifs. Il s'agit de considérer comment la compréhension du corps se trouve réorientée selon les mobiles divers des auteurs et des artistes.