La Côte d'Ivoire, d'une crise à l'autre
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- Poids0.395 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-02959-7
- EAN9782343029597
- Date de parution01/07/2014
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le premier aspect à mettre en avant dans la présentation de ce recueil de textes est le caractère composite des approches, qui fait de ce volume une contribution réellement interdisciplinaire : politistes, anthropologues, sociologues, tous sensibles à une perspective historique, donnent une lecture croisée des événements critiques qui ont, à plusieurs reprises, profondément secoué la Côte d'Ivoire.
De plus, il s'agit de contributions internationales, leurs auteurs venant de plusieurs pays (Côte d'Ivoire en premier lieu, mais aussi Suisse, Italie et France), ce qui suppose un degré fort différent d'implication, de nature autre que scientifique, dans les faits ivoiriens. L'appel à communication qui est à l'origine de ce volume contenait une invitation explicite : élargir le regard, de l'actualité immédiate à une plus longue durée, comprenant la colonisation, la saison des "faux complots" et les crises majeures du Sanwi (1959) et du Guébié (1970).
Pari gagné seulement en partie. En effet, comme il était prévisible, la dernière crise postélectorale de 2010-2011 et ses prémisses les plus proches (à partir du décès d'Houphouët-Boigny et de sa succession en 1993, du cycle coup d'Etatélection présidentielle de 1999-2000, ou du putsch de 2002) ont accaparé les attentions des chercheurs, sans pour autant les monopoliser. Chacun à sa manière a situé les derniers événements, opposant les partisans de Laurent Gbagbo et d'Alassane Ouattara, dans une généalogie de causes et dans une chronologie de faits marquants, dont le choix change sensiblement les coordonnées des problèmes abordés, leurs explications, leurs solutions possibles, leurs issues souhaitées.
De plus, il s'agit de contributions internationales, leurs auteurs venant de plusieurs pays (Côte d'Ivoire en premier lieu, mais aussi Suisse, Italie et France), ce qui suppose un degré fort différent d'implication, de nature autre que scientifique, dans les faits ivoiriens. L'appel à communication qui est à l'origine de ce volume contenait une invitation explicite : élargir le regard, de l'actualité immédiate à une plus longue durée, comprenant la colonisation, la saison des "faux complots" et les crises majeures du Sanwi (1959) et du Guébié (1970).
Pari gagné seulement en partie. En effet, comme il était prévisible, la dernière crise postélectorale de 2010-2011 et ses prémisses les plus proches (à partir du décès d'Houphouët-Boigny et de sa succession en 1993, du cycle coup d'Etatélection présidentielle de 1999-2000, ou du putsch de 2002) ont accaparé les attentions des chercheurs, sans pour autant les monopoliser. Chacun à sa manière a situé les derniers événements, opposant les partisans de Laurent Gbagbo et d'Alassane Ouattara, dans une généalogie de causes et dans une chronologie de faits marquants, dont le choix change sensiblement les coordonnées des problèmes abordés, leurs explications, leurs solutions possibles, leurs issues souhaitées.
Le premier aspect à mettre en avant dans la présentation de ce recueil de textes est le caractère composite des approches, qui fait de ce volume une contribution réellement interdisciplinaire : politistes, anthropologues, sociologues, tous sensibles à une perspective historique, donnent une lecture croisée des événements critiques qui ont, à plusieurs reprises, profondément secoué la Côte d'Ivoire.
De plus, il s'agit de contributions internationales, leurs auteurs venant de plusieurs pays (Côte d'Ivoire en premier lieu, mais aussi Suisse, Italie et France), ce qui suppose un degré fort différent d'implication, de nature autre que scientifique, dans les faits ivoiriens. L'appel à communication qui est à l'origine de ce volume contenait une invitation explicite : élargir le regard, de l'actualité immédiate à une plus longue durée, comprenant la colonisation, la saison des "faux complots" et les crises majeures du Sanwi (1959) et du Guébié (1970).
Pari gagné seulement en partie. En effet, comme il était prévisible, la dernière crise postélectorale de 2010-2011 et ses prémisses les plus proches (à partir du décès d'Houphouët-Boigny et de sa succession en 1993, du cycle coup d'Etatélection présidentielle de 1999-2000, ou du putsch de 2002) ont accaparé les attentions des chercheurs, sans pour autant les monopoliser. Chacun à sa manière a situé les derniers événements, opposant les partisans de Laurent Gbagbo et d'Alassane Ouattara, dans une généalogie de causes et dans une chronologie de faits marquants, dont le choix change sensiblement les coordonnées des problèmes abordés, leurs explications, leurs solutions possibles, leurs issues souhaitées.
De plus, il s'agit de contributions internationales, leurs auteurs venant de plusieurs pays (Côte d'Ivoire en premier lieu, mais aussi Suisse, Italie et France), ce qui suppose un degré fort différent d'implication, de nature autre que scientifique, dans les faits ivoiriens. L'appel à communication qui est à l'origine de ce volume contenait une invitation explicite : élargir le regard, de l'actualité immédiate à une plus longue durée, comprenant la colonisation, la saison des "faux complots" et les crises majeures du Sanwi (1959) et du Guébié (1970).
Pari gagné seulement en partie. En effet, comme il était prévisible, la dernière crise postélectorale de 2010-2011 et ses prémisses les plus proches (à partir du décès d'Houphouët-Boigny et de sa succession en 1993, du cycle coup d'Etatélection présidentielle de 1999-2000, ou du putsch de 2002) ont accaparé les attentions des chercheurs, sans pour autant les monopoliser. Chacun à sa manière a situé les derniers événements, opposant les partisans de Laurent Gbagbo et d'Alassane Ouattara, dans une généalogie de causes et dans une chronologie de faits marquants, dont le choix change sensiblement les coordonnées des problèmes abordés, leurs explications, leurs solutions possibles, leurs issues souhaitées.