Les cahiers du CIRCAV N° 18
Impureté(s) cinématographique(s)
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- Nombre de pages272
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-16256-3
- EAN9782296162563
- Date de parution15/01/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'impureté est devenue, au fil de recherches universitaires, une véritable catégorie esthétique, en particulier dans le champ filmographique. Prenant en compte la revendication " avant-gardiste " des cinéastes des années 20, celle d'un art total capable de tendre vers des formes purement cinématographiques, André Bazin, dans les années 50, forge la notion d'impureté en se demandant si le septième art a eu, véritablement, un jour, la capacité d'œuvrer exclusivement sur son propre terrain.
Le pouvait-il seulement dès lors qu'il croise d'autres disciplines artistiques ? Dans les années 90, ce sont Alain Badiou et Denis Lévy qui hissent véritablement la notion d'impureté à la dignité du concept. Denis Lévy distingue " impureté globale " et impureté locale, selon qu'un film en est affecté de diverses manières, et aussi en tout ou partie. Les films sont souvent régis par des sutures à la peinture, à la photographie, au théâtre, à l'opéra...
tous ces couples et autres figures envisageables peuvent, selon les cas, s'articuler en engrenages ou en organes plus ou moins déliés, plus ou moins subtils. Les auteurs de ce numéro mettent en évidence ces articulations en s'adressant au système des genres, ou en visitant une seule ou plusieurs œuvres d'un même réalisateur. Ainsi s'inscrivent-ils dans ce mouvement qui, de revues en colloques et de colloques en publication d'actes, mais aussi d'un film à l'autre, dresse un état des mieux des impuretés cinématographiques.
Le pouvait-il seulement dès lors qu'il croise d'autres disciplines artistiques ? Dans les années 90, ce sont Alain Badiou et Denis Lévy qui hissent véritablement la notion d'impureté à la dignité du concept. Denis Lévy distingue " impureté globale " et impureté locale, selon qu'un film en est affecté de diverses manières, et aussi en tout ou partie. Les films sont souvent régis par des sutures à la peinture, à la photographie, au théâtre, à l'opéra...
tous ces couples et autres figures envisageables peuvent, selon les cas, s'articuler en engrenages ou en organes plus ou moins déliés, plus ou moins subtils. Les auteurs de ce numéro mettent en évidence ces articulations en s'adressant au système des genres, ou en visitant une seule ou plusieurs œuvres d'un même réalisateur. Ainsi s'inscrivent-ils dans ce mouvement qui, de revues en colloques et de colloques en publication d'actes, mais aussi d'un film à l'autre, dresse un état des mieux des impuretés cinématographiques.
L'impureté est devenue, au fil de recherches universitaires, une véritable catégorie esthétique, en particulier dans le champ filmographique. Prenant en compte la revendication " avant-gardiste " des cinéastes des années 20, celle d'un art total capable de tendre vers des formes purement cinématographiques, André Bazin, dans les années 50, forge la notion d'impureté en se demandant si le septième art a eu, véritablement, un jour, la capacité d'œuvrer exclusivement sur son propre terrain.
Le pouvait-il seulement dès lors qu'il croise d'autres disciplines artistiques ? Dans les années 90, ce sont Alain Badiou et Denis Lévy qui hissent véritablement la notion d'impureté à la dignité du concept. Denis Lévy distingue " impureté globale " et impureté locale, selon qu'un film en est affecté de diverses manières, et aussi en tout ou partie. Les films sont souvent régis par des sutures à la peinture, à la photographie, au théâtre, à l'opéra...
tous ces couples et autres figures envisageables peuvent, selon les cas, s'articuler en engrenages ou en organes plus ou moins déliés, plus ou moins subtils. Les auteurs de ce numéro mettent en évidence ces articulations en s'adressant au système des genres, ou en visitant une seule ou plusieurs œuvres d'un même réalisateur. Ainsi s'inscrivent-ils dans ce mouvement qui, de revues en colloques et de colloques en publication d'actes, mais aussi d'un film à l'autre, dresse un état des mieux des impuretés cinématographiques.
Le pouvait-il seulement dès lors qu'il croise d'autres disciplines artistiques ? Dans les années 90, ce sont Alain Badiou et Denis Lévy qui hissent véritablement la notion d'impureté à la dignité du concept. Denis Lévy distingue " impureté globale " et impureté locale, selon qu'un film en est affecté de diverses manières, et aussi en tout ou partie. Les films sont souvent régis par des sutures à la peinture, à la photographie, au théâtre, à l'opéra...
tous ces couples et autres figures envisageables peuvent, selon les cas, s'articuler en engrenages ou en organes plus ou moins déliés, plus ou moins subtils. Les auteurs de ce numéro mettent en évidence ces articulations en s'adressant au système des genres, ou en visitant une seule ou plusieurs œuvres d'un même réalisateur. Ainsi s'inscrivent-ils dans ce mouvement qui, de revues en colloques et de colloques en publication d'actes, mais aussi d'un film à l'autre, dresse un état des mieux des impuretés cinématographiques.